Avez-vous déjà entendu parler d’électroculture ? Vous aimeriez tester par vous-même ? Suivez nos astuces et adoptez ces techniques simples pour s’initier à l’utilisation de cette agriculture énergétique. Exploitez l’électricité naturelle de notre environnement en découvrant l’énergie libre et le magnétisme. Prenez en main une approche innovante étudiée dès le siècle des Lumières. On y constate alors l’influence du champ électromagnétique terrestre sur les végétaux. Cet article est destiné à apporter les bases et la compréhension de cette méthode pour facilement débuter en électroculture.
Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes de fréquences, d’énergies et de vibrations. Nikola Tesla
Comment fonctionne l’électroculture ?
L’électroculture consiste à utiliser les énergies émises par le champ électromagnétique afin de stimuler les plantations. Comment ? En se servant de capteurs naturels qui vont entrer en connexion avec ces énergies. On peut qualifier cela « d’électro-engrais » en quelque sorte. Ce n’est pas une méthode miracle, mais une solution qui respecte les cycles naturels cosmiques, de même que la permaculture respecte son environnement. Ces deux techniques se complètent pour une agriculture en cohérence avec la nature.
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Deux formes d’agriculture énergétique
La forme passive
La forme dite « passive » de l’électroculture est la plus utilisée et la plus facile à prendre en main. Le principe est d’exploiter naturellement les énergies électromagnétiques. Plusieurs techniques sont possibles en utilisant le cuivre ou le basalte par exemple, que l’on détaillera dans la partie suivant. Ces systèmes mis en place vont interagir avec les ondes cosmo-telluriques de notre environnement, ce qui va renforcer la vitalité énergétique des plantes. Ces techniques mises bout à bout peuvent être un véritable plus pour les végétaux, ajoutées à un bon entretien initial. On ne constate pas forcément de différences à court terme, mais les plantes se développeront dans une zone stimulée énergétiquement, ce qui influera sur leur croissance. L’électroculture passive est une pratique 100 % naturelle, car elle canalise les ondes présentes dans notre environnement.
La forme active
Les systèmes actifs utilisent plutôt de l’électricité ou de l’énergie artificielle. Par exemple, dynamiser de l’eau avec un bio-dynamiseur comme celui de Marcel Violet. Un émetteur d’ondes sonores basé sur la fréquence du chant des oiseaux pour accroître la croissance et la résistance des plantes. À plus grande échelle, l’Académie chinoise des sciences agricoles a mené sur 30 ans des tests de culture sous haute tension. Sur 3 600 hectares de serres, ils estiment avoir amélioré leurs rendements jusqu’à 30 % tout en réduisant l’utilisation de pesticides de 70 % à 100 % ! Pour cela, ils ont installé des pointes de cuivres à 3 mètres au-dessus du sol, dans lesquelles circule une charge positive d’une puissance de 50 000 volts à son maximum. Relié au sol, un générateur électrique diffuse les charges négatives créant le différentiel électrique entre le sol et l’atmosphère.
Quelles méthodes pour débuter en électroculture ?
Si vous voulez appliquer des techniques d’agriculture énergétique dans votre jardin, n’oubliez pas les principes de base du jardinage. Commencez par aménager votre jardin pour établir un plan de ce que vous souhaitez produire. Une fois votre jardin organisé vient l’électroculture pour une optimisation maximale de votre terrain. Voici quelques méthodes :
Les pyramides
Prisée par les passionnés, cette technique repose sur le fait que les pyramides possèdent une énergie vibratoire puissante. Idéalement faites en cuivre, beaucoup plus conducteur, les pyramides sont utilisées pour dynamiser des graines ou même de l’eau et également améliorer la croissance des semis. Deux modèles de pyramides sont utilisés, la pyramide classique et la pyramide nubienne, au nombre d’or. Seule règle à respecter, placer la pyramide en parallèle de l’axe du champ magnétique de la Terre, c’est-à-dire nord-sud.
Les circuits oscillants Lahkovsky
On l’a vu, le cuivre est un élément extrêmement conducteur, la raison ? L’agencement des atomes présents dans le cuivre leur permet de circuler plus rapidement, établissant une meilleure connexion avec l’Univers. Les circuits Georges Lahkovsky sont des fils de cuivre que l’on peut mettre sur les arbres ou autour des plantes, toujours dans le même but de favoriser leur croissance. C’est une technique extrêmement simple à la porter de tous. Ne vous attendez pas à avoir des tomates de 3 mètres de haut 😄 ! Mais à petite échelle, il est amusant de comparer les résultats.
Les tours d’énergies
Ces tours de basalte, en interaction avec les énergies cosmiques, favorisent la fertilité de tout organisme. Comment est-ce possible ? Grâce au basalte, dont ces tours en sont constituées au 2/3, qui est une roche volcanique hautement paramagnétique. Inspiré des tours irlandaises, cette technique se base sur les forces conductrices et sur la géométrie sacrée avec son cône à son sommet de 51°, même dimension que pour le sommet de la pyramide nubienne. Faisant office d’antenne, ces tours sont à positionner dans son jardin, elles agissent dans un rayon de plusieurs mètres équivalent à leur taille.
Les antennes atmosphériques
Également appelées antenne paratonnerre, elles permettent de capter les charges électriques de l’atmosphère, afin de les diriger vers le sol au bénéfice des plantes. À disposer toujours vers le sud géographique (qui est le nord magnétique), l’antenne va faire effet de pile et agir dans un rayon proportionnel à sa hauteur. Ce dispositif dépend aussi de la météo et des caractéristiques du sol. Pour faire une antenne atmosphérique simple, il suffit d’ériger à au moins 2 mètres du sol, des pointes en aluminium (vers le ciel et le sud), en zinc et en cuivre.
La culture par les énergies : une technique prouvée scientifiquement ?
Bien que non reconnue par la science, cette agriculture énergétique est étudiée depuis près de trois siècles. Malgré qu’elle soit tombée dans l’oubli, les archives montrent les études menées et les ouvrages publiés sur le sujet. Le premier à avoir traité concrètement de l’électroculture est l’abbé Pierre Berthelot. En 1783, il publie « De l’électricité des végétaux », il conçoit alors les premières techniques d’agriculture énergétique. Au début du XXe siècle, Justin Christofleau publie près de 40 inventions brevetées. En particulier une antenne atmosphérique améliorée, prenant en compte l’axe du champ magnétique terrestre, ainsi que plusieurs paramètres météorologiques. Aujourd’hui, Maxence Layet, auteur de l’ouvrage « Électroculture et énergie libre » publié en 2010, participe au renouveau de cette pratique. Depuis une dizaine d’années, l’ingénieur agronome Yannick Van Doorne met en pratique plusieurs techniques utilisant l’électricité naturelle et obtient des résultats probants. L’électroculture demande encore beaucoup d’expérimentations, mais les résultats obtenus par les jardiniers amateurs sont encourageants.
Quels résultats obtient-on grâce à l’agriculture énergétique ?
Toutes ces astuces sont intéressantes, mais quels résultats peut-on concrètement obtenir grâce à l’électroculture ? Voici deux exemples significatifs de personnes ayant exploité un maximum leur jardin à l’aide de ces techniques.
Richard Humbert
Richard Humbert est champion de France de la plus grande tête de Tournesol. Ce jardinier amateur exploite son potager depuis une dizaine d’années et note une croissance plus rapide des végétaux après avoir mis en place plusieurs techniques d’électroculture. Des tours de basalte, des pyramides, des antennes… Richard a disposé une multitude d’astuces visant à capter les énergies cosmo-telluriques, qui couplées à son jardin en permaculture, lui donnent des résultats impressionnants. Ses légumes comme ses carottes ou ses salades doublent de volume tout en gardant leur saveur. Récemment, il a récolté des poivrons de plus de 500 g se rapprochant du record de France qui est de 621 g.
Loïc Etcheberry
Adepte de la permaculture, il s’investit totalement dans l’agriculture énergétique depuis qu’il a découvert cette méthode. Récemment, il a installé une antenne paratonnerre de 8 mètres de haut et mesure les échanges d’électrons air/sol afin de prouver son impact. Entre tournesol géant, tomate de 450 g ou encore un chou géant qu’il a cueilli dans son jardin, Loïc commence à avoir une récolte très prolifique. Si vous souhaitez débuter en électroculture, cette playlist sur sa chaîne YouTube est idéale pour s’auto-former.
L’électroculture n’est pas de la magie, mais repose sur l’influence bien réelle de l’électromagnétisme sur notre planète. S’inscrivant dans la lignée de nombreuses autres méthodes de productions écologiques, en plein essor depuis une quinzaine d’années. Sa prise en compte des énergies de l’Univers offre une approche inédite pour penser une agriculture respectueuse de l’environnement.
Si vous êtes soucieux d’avoir une approche écologique globale, la lecture de cet article sur le biogaz pourra vous intéresser.
Sources :
p1 – Votre recherche – électroculture Tout : 403 résultats – Gallica
Electroculture : Énergies naturelles au Service de l’Agriculture – electroculture et magnetoculture
Électroculture : comment les Chinois veulent doper leur agriculture sans pesticides
Robin Baptiste, pour e-Writers
Article rédiger lors du cursus de formation en rédaction web pour FRW
Article relu par Océane, tutrice de formation chez FRW